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les peruviens

8 août 2009

CUSCO (ton tige)

De retour du Machupicchu, juste le temps de se poser une  journée et de visiter Cusco.
Les sept photos (seulement sept!? mais qu'arrive-t-il à notre photographe?) ne parlent pas. Elles ne sont pas assez bavardes pour décrire la ville.
Cusco est la plus belle ville qu'on ai visitée au Pérou (n'ayons pas peur de ce classement). Le centre, dans la plaine, autour de la place des armes, est entièrement pavé. C'est un petit labyrinthe de ruelles, de place(ttes) et d'EGLISES. A 3000m la lumière explose, le ciel l'adoucit un peu. Ça chauffe et ça brille dès 7h du mat', à l'ombre on perd environ 10 degrés. Sur le trottoir de gauche c'est "pull et parka", à droite "short et teeshirt".

On y passe la journée en évitant de zigzaguer!

Au passage, on teste l'office de migration. Il nous manque 2 papellitos pour rejoindre la Bolivie (c'est prévu après le Titicaca). Le fonctionnaire qui nous accueille ,très chic, fait des effets de manches (surement un ancien avocat fier de ses boutons). La chose est envoyée en 2 temps 3 mouvements (d'avant bras).

Le temps reste de l'argent. Le prix change d'une minute à l'autre, on paie finalement l'équivalent de 10 euros. La somme atterrit directement dans le portefeuille du maitre Verges. Des conclusions....??

On flane le reste du temps jusqu'au depart de notre noctibus pour Puno. Le Titicaca nous attend!

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6 août 2009

WAYNE A PICHU

Mais pourquoi donc ce titre?

Chers lecteurs, comme vous le verrez sur les photos, un nouveau personnage fait son apparition dans notre périple.
Issu d'une tres longue lignée d'Alpaga (lointain cousin du Llama), et de notre imagination fort creative Wayne réussit brillamment le concours de guide de haute montagne des l'age de 2 ans. Fierté de ses parents et de son école, c'est en accompagnant le commandant Cousteau sur le lac Titi caca qu'il se fait reconnaitre internationalement. Après de nombreuses collaborations (Haroun Tazieff, les frères Bogdanoff, Frederic Lopez) il devient a 6 ans  le plus jeune guide du site du Machupicchu, consécration d'une remarquable carriere!
Quelle chance et quelle excitation lorsque nous apprenons qu'il nous guidera pendant ces 24h..!

24h seulement pour percer les mystères des incas.... nous installons notre campement de base au pied du site, dans la ville d'Aguas Calientes. Nous y passons la premiere soirée.

Quelle étrange ville...  Construite pour les touristes et coincée en plein canyon  sylvestre, Aguas ne s'étend pas elle pousse par etage successif.  Chaque batiment se colle a l'autre en laissant se glisser... parfois... une petite rue. Aguas est un grand hôtel surplombant un marche artisanal, sorte de labyrinthe de tapis. On a presque l'impression d'être a Center Park (en plus bordelique).

Une nuit suffit pour nous preparer. Une nuit courte: vers 3h30 une partie de la troupe part à pied, direction le Machupicchu! (Ne comptez pas sur moi pour denoncer ces flemmardes de Marie et Laura qui préfèrent s'y rendre en bus, c'est pas le style de la maison!)

Deux heures de marche très matinale, un long escalier plus tard nous voici arrivés.... pour l'ouverture du site.

Sur l'affiche de l'entrée: un plan et quelques explications. Initialement lieu de culte, le Machupicchu devient le refuge de l'inca durant la conquête espagnole. La cour s'y installe, fuyant  l'avancée des conquistadors sur Cuzco. Elle profite de l'isolement du site.
Derrière l'affiche, au bout d'un petit chemin,  on découvre la cité sous le levé de soleil. La première impression est énorme . C'est une ville construite sur une crête reliant deux immenses pics (le machupicchu et le waynapicchu). Tout autour, la foret, tres dense plonge dans des ravins sans fin. Les maisons s'alignent face au soleil. Les fenêtres et les murs sont construits en triangle et entourent le "temple ". Au milieu de la cité cette construction ronde, sorte de salle des fetes, accueillait regulierement incantations et autres saccrifices. La municipalité y organisait regulièrement des lotos (loteries?), l'heureux gagnant se faisant égorger sous les applaudissements de ses comparses...

L'inca séjournera dans la ville....jusqu'à ce que les troupes espagnoles l'investissent.  A leur arrivée la ville est déserte. La cour et l'inca ont disparu. Certains historiens parlent d'une autre ville, le Machupicchu ne serait pas la dernière cité inca... (ouahh.....)

On décide de gravir le Waynapicchu. 1h30 de montée a pic a 4000m, une ballade de santé pour nous montagnards chevronnés: 500 marches, des cordes a flanc de paroi, et peu de place pour se croiser. Au sommet, la jungle s'étend a perte de vue. Seule la ville en contrebas semble émerger de l'océan vert (c bo comme un poème). Malheureusement aucune trace de fuite, l'ultime secret reste entier.

Sur le site, la concurrence entre touristes est rude. Belges, italiens, américains, français... se disputent la place, 4000 personnes y piétinent chaque jour et la ville descend d'un millimètre quotidiennement (véridique!) Depuis peu l'Unesco conseille  au gouvernement péruvien de limiter les entrées voire de fermer momentanément l'accès.

La foule aura d'ailleurs raison de nous. Apres 7h de visite nous décidons de redescendre: en tête de belles images, une pointe de déception et une question.... Le site n'est accessible qu'aux touristes. Nous le savions, le prix d'entrée est beaucoup trop elevé pour la plupart des péruviens.  A 40 dollars chaque visiteur, le ministère du tourisme profite de la notoriété du site. 80000 dollars par jour, peut-être de quoi remédier en partie a ces états de fait, qui sait...?

On vous bise et on se retrouve plus loin!

2 août 2009

Colca ( Cola )

Cette boisson gazeuse americaine est presente partout meme dans les coins les plus recules. Heureusement Inka Kola lui fait concurrence.
Le troisieme jour > Dieu crea La Cruz del Condor. A quelques kilometres de Cabanaconde, par une matinee fraiche et venteuse, le groupe (reforme pour se tenir chaud) s'en va, tel une horde de paparazzi, shooter les condors.
Un peu d'ornothologie > le condor ( condorus hirsutus ) vit parfois en couple mais pas toujours. Il vole dans les courants chauds mais pas toujours. Il est blanc et noir mais pas toujours. Son vol majestueux cache ses traits hideux.

Son ami le colibri, beaucoup plus nerveux, toxico notoire, en fait des tonnes pour le concurrencer. C'est peine perdue, le chasseur de scoops n'a d'yeux que pour les cieux.

Afin de remplir la bourse collective, la troupe compte proposer le fruit de son reportage au National Geographic.

Lasse de ces 4 heures dans le cyber cafe, la troupe vous salue bien. Elle vous retrouve au Machupicchu!

Grand jeu concours > Comment s'appelle la femelle du condor ?

2 août 2009

CHIVAY (que vaille!) & YANKE (ke land!)

Pourquoi s'arreter en si bon chemin?
Quelques metres plus haut et quelques degres en moins, nous voici au nord d'Arequipa, proches du Canyon de Colca.
Ecoutant les conseils avises de nos hotes, on debute par un bain chaud et souffre. Ca acclimate, ca revigore et ca decape. Ce sera notre seul decrassage du sejour (la temperature de l'eau des douches etant inversement proportionnelle a celle des sources).

On decide de passer trois jours dans les environs (on n'aime pas se laver, on aime la neige, les ravins, le vin chaud et l'alcool de coco...?)

Le deuxieme jour, le groupe se separe.

Tandis que Laura, Bea, Barbara et Elodie (tiens,tiens, 2 nouveaux personnages?) partent caballoter, Marie, Fabio et Franck s'en vont caminer.

Equipe 1> Le caballo andin a la particularite d'etre le cousin direct du cabri. Rien ne l'arrete, il grimpe, redescend des pentes de dingues, sur 2 ou 4 pattes, sans harnais. Il n'a pas peur des ponts, de trotter 6 heures dans la journee, sans jamais raler. Le caballo andin est bosseur et d'une bonhomie a toute epreuve.

Neanmoins, il sent un peu fort. Apres 3 heures de balade, le cavalier (ne faisant qu'un avec l'animal) en prend l'odeur au grand dam des voyageurs du bus du soir.

Moralite> journee tres chouette, equipe qui fouette! et pour les mirettes zavez qu'a mater (de coca) les photounettes.

Equipe 2> Le randonneur du Dimanche a la particularite d'etre le cousin direct du paresseux dilettante.

Rien ne l'inquiete, il s'en va leger, sans carte ni lampe, equipe de son seul paquet de clopes et d'un fond de bouteille de agua (mineral sin gas, helada por favor). Il tente la traversee du canyon en fin de journee, au soleil couchant (il est un peu fleur bleue).

45 minutes annoncees se transforment en 3 heures abruptes, pentues, a pic, ardues et raides. Quel bonheur de se confronter a soi meme et a la nature!

Le paresseux se deplace en groupe. La femelle accompagnee de ses 2 males ferme la marche, aux aguets elle prend des photos (histoire de se retrouver si jamais...) Elle est maline, ca lui permet de faire des pauses (sans clope).

Le paresseux aime le suspense et marcher de nuit avec pour seul guide la lune et les etoiles. Il s'oriente a l'optimisme et aux signes de civilisation (crottin, plantation...) Il arrive souvent a bon port par hasard (et pas rase). Reccueilli par de bonnes ames il se rechauffe a l'aguardiente (l'eau de vie tres locale).

Moralite> paresseux heureux, paresseux chanceux.

PS> Corto ta recompense s'est glissee dans un des albums photo, sauras tu la retrouver?

Grand jeu concours TARZAN> Bravo Colin, Corto a triche, c est mal...Ton cadeau au choix> un calecon en alpaga ou un string en croco.

Nouveau jeu concours> mais qui sont Barbara et Elodie? En recompense, un diner en tete a tete avec l'une ou l'autre voire les deux.

 

30 juillet 2009

AREQUIPA (dverse)

Precedemment dans votre serie: Laura et Fabio sentant leur couple en peril s'isolaient a la plage afin de faire le point.
De leur cote Bea,  Marie  et Franck s'envolaient vers la jungle sur les traces de Johnny Weissmuller.
C'est tous ensemble, apres moult aventures palpitantes, qu'ils se retrouvent sur Lima comme au premier jour de leur grande aventure.
Leur gout du risque, leur besoin de decouvertes les poussent rapidement a quitter la ville: direction le sud et ses mysteres incas, ses volcans enneiges et ses nouvelles bieres.

28 Juillet 6am : le vol 3125 de la LAN (sacre Francis, une seule chanson et deja proprietaire d'une compagnie aerienne) se pose sur le tarmac d'Arequipa, 2300 m d'altitude, face au majestueux Misti enneige.

Un peu d'histoire: Fonde en 1540 par les espagnols sur un ancien site quechua, Arequipa prospera immediatement grace a le decouverte des mines de Potosi. Elle se trouvait sur la route du transit des minerais et devint un important relais commercial. Les espagnols n'eurent aucun probleme a s'imposer ici, et les indiens furent tres vite en minorite. Le declin des mines entraina une periode de decadence, jusqu'a ce que, au 18e S, des colons britanniques et francais installent des manufactures de laine d'alpaga et de textile en general. (c'est chiant le routard, non?)

Depuis, Arequipa s'est un peu transforme en tres jolie ville , plutot agreable mais blindee de touristes francais, anglais, italiens et de rabatteurs locaux. L'interet c'est qu'on peut manger toutes les heures, l'inconvenient c'est qu'on a presque tous la chiasse. A ce point du recit nous resterons volontairement flous sur l'identite des malades, secret medical oblige.

Plus les journees passent plus on gagne en altitude. Le doute s'installe petit a petit dans le groupe, des marques d'essouflement se dessinent sur certains visages. A ce point du recit ..... blablabla.... secret medical oblige.

Un peu  de medecine: le corps humain, magnifique machine, reagit a l'altitude et au froid. Soumis a un changement de conditions brusque et irreflechi il n'est pas rare d'observer des phenomenes d'engourdissement, de vomissements, de diarhees aigues voire de perte de poumon.
Nos 5 cobayes seront-ils en assez bonne sante pour survivre? 

Ils sont encore 7 a partir 2 jours vers le cañon de Colca, ils balanceront (peut etre?) leurs photos dans les jours qui viennent . Et pour le moment ils vont s'alcooliser et fumer des clopes.

A votre sante!

Grand jeu Concours:
Merci a tous les participants du Jeu precedent. La bonne reponse etait: Nouvel Animal de Compagnie. BRAVO CORTO!! Veux tu la photo ou l'hematome en chair et en os des le retour ??? Quant a Moone, c'etait bien essaye !!!

Nouveau jeu concours: qui est Johnny Weissmuller? Les reponses doivent etre precises!

Ps de Béa: pour la goutte :NAN ! le telephone y passe pas dans la jungle, y'a qu'au mexique que ca passe! Pour corto, colin, sid, nout,et j'en passe, je suis extremement decue que vous n'ayez pas pense a nac,  ce cher chien avec lequel vous avez partage des jours et des nuits sulfureux. Pffffff, quelle ingratitude !

...et puis je vous remercie beaucoup pour vos petits messages bien chaleureux.

 


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28 juillet 2009

Chimbote (on va pas chimboter)

Petite parenthese familiale pour Laurita...

1000 mercis pour votre accueil, votre gentillesse et vos plats delicieux ;-)

27 juillet 2009

Quand LA SELVA (tout va)

Si vous saviez les amis!

3 journees dans la jungle: a 220 bornes d'Iquitos (1h de route et 2h30 de bateau sur l'amazone) pour arriver pres de puerto miguel (c'est trop petit, vous verrez pas sur la carte..).

On arrive en debut d'apres midi, il fait tres chaud et tres humide (c'est l'ete! on a regagne les 4 pour cent!).

1 heure plus tard le temps change, le vent se leve. Il n'a pas assez dormi, un peu nerveux il deracine un arbre de 20 m devant le lodge! (le lodge c'est notre habitat). Il parait que c'est assez courant, le vent n'aime pas les arbres et inversement! Le vent doit etre en retard, assez presse il part comme il est arrive...  sans prevenir! Qui va a la chasse perd sa place! La pluie s'invite, elle ne reste pas longtemps, juste un moment pour tremper les habits et la voila partie!

Moralite: le vent est malpoli et la pluie une profiteuse!

Tout ca n'a dure que quelques minutes, c'est genial a voir et assez impressionnant.

Dans la foret on se deplace en canoe de jour comme de nuit. Pepe (notre guide) n'aime pas les moteurs, il prefere les rames, c'est son cote "old school"! Pepe il a bien raison! Le bruit  inquiete les animaux, la beeeete de la selva est craintive elle ne se laisse pas approcher facilement. Et puis il faut toujours ecouter les vieux (sauf quand ils sont racistes ou quand ils ont alzheimer).

Le canoe de nuit c'est particulierement magique. La brume monte du fleuve, on entend les cris des oiseaux, le bruit des singes dans les arbres, c'est a la fois reposant et intriguant. On scrute les rives du rio avec des lampes frontales. A la recherche de paires d'yeux brillants, on s'approche lentement, tres lentement et parfois on decouvre un oiseau, un crapeau venimeux, un petit caiman ou un Zorrito. Le Zorrito est une enigme: Pepe qui aime la traduction litterale et qui voit mal de pres nous montre un petit renard. A ce jour on reste persuade qu'il s'agissait d'un tapir: "un monton peor", pour ceux qui a l'instar de Pepe apprecie les belles traductions.

La foret de jour est bien differente. En hiver le fleuve descend de plusieurs metres et decouvre une partie engloutie: des arbres aux racines aeriennes, des algues accrochees aux troncs et une couche de boue vaseuse assez odorante.  C'est assez fascinant et c'est rellement un autre monde! C'est le lieu des anacondas et autres NAC. (Ils devaient etre en greve on ne les a pas vus).

Dans la foret il parait qu'on peut vivre sans rien: on peut boire en coupant des racines, manger en pechant, dormir a l'abris des chutes de branches, se proteger des moustiques en s'enduisant de jus de termites, se soigner et même se droguer si on a vraiment pas le moral. A 55 ans Pepe continue a marcher jusqu'a 5 heures par jour et propose aux touristes en mal de sensations de survivre pendant 2 semaines avec une seule lampe torche.

Dans la foret le vocabulaire est different. "Boire de l'Ayahuasca" (la drogue locale) signifie "laver son corps". "Je vais au marche" signifie "je pars 4 jours",  "je vais chez le medecin" signifie "j'ai un bon ami sorcier" ou "shaman" c'est selon... Une chose est sure: "Cuidado Marita" signifie "Attention Marie-Line! tu vas encore tomber dans la boue!"

Dans la foret, les indiens sont oublies par le gouvernement. La plupart vit de la peche, et couper du monde. Les plus jeunes essaient de gagner la ville. Dans le meilleur des cas ils trouvent un travail ou suivent des etudes. Ca reste rare, les filles deviennent meres entre 15 et 16 ans et les gars derapent souvent. Les indiens exiles en ville vivent dans des quartiers tres pauvres. Actuellement c'est particulierement insalubre, le niveau du fleuve a baisse et les ordures bloquent les rues. Certains jeunes (tres jeunes) se prostituent et les familles ferment les yeux. La bonne nouvelle c'est qu'Alan Garcia le president actuel (tres liberal) a ete battu par un candidat revolutionnaire sur Iquitos. Les partis d'extreme gauche ne manquent pas, mais les indiens ont beaucoup de mal a s'organiser.

Dans la foret c'etait tres chouette (et pas que...), on en a pris plein les yeux, et en prime on a rencontre plein de gens excellents!

On est fourbus et contents et en plus on vous embrasse!

PS: Grand jeu concours: un sigle s'est glisse dans ce texte. Sauras-tu le retrouver et decouvrir sa signification? A gagner: une photo dedicacee de l'hematome fessier de Marie Line!(serieux ca vaut le coup!)

23 juillet 2009

IQUITOS...TAKI ! (merci Fabio)

Salut les amis!

Pendant ce temps la, a 1000 km de Fabio et Laurita (nie en bloc... autant continuer dans les references)

Ca y est, nous y sommes! a Iquitos en pleine foret amazonienne, 1h30 de vol ou 30h de bus et 2 jours de bateau depuis Lima! on a choisi l'avion et on est arrive hier!
On a gagne 22 degres, c'est toujours l'hiver il fait 38 degres et 96 pour cent d'humidite (les 4 pour cent c'est la difference avec l'ete...)
On continue a manger comme des ptits colons (euh... cochons), et on s'hydrate a la cusceña (la mejor cerveza del Peru sin ninguna duda).
Ce soir vamos a bailar avec notre nouvel ami Ricardo (c'est cool de voyager avec deux gringas guapas, ca rapproche!)
Demain on part dans la selva (jungle) passer trois jours en bateau sur l'amazone (pour manger des vers et boire de la seve).On est un peu inquiet pour Bea elle mene 1 a 0 face aux piranhas (elle en a mange un hier soir). Ici ca rigole pas avec le sport ils vont surement se venger!

Et pour le reste c'est ultra depaysant, on balance les photos (si on y arrive!)

Hasta pronto! 

Beatriz, Maria y el Gringuito!

23 juillet 2009

Mancora (corps)

Hola, lors du dernier episode, nos protagonistes se sont separes a Trujillo, les uns (bea, mafaldita et franck) en direction de Iquitos via Lima, les autres (Laura et Fabio) en direction de Mancora...nous nous interesserons a ces derniers, puisque ils sont nous ou nous sommes eux au choix.

Mancora, le lieu des surfeurs, proche de l´equateur, dernier bain de soleil avant notre retour au froid et en altitude....le pour, c´est tout cela plus notre youth hostel sympa et pas cher, l ambiance detendue qui y regne, l absence quasi certaine de moustiques, serpents et autres bebetes domestiques....le contre, c est les relations business avec les locaux, et toujours ces satanes motos-taxis qui sillonnent l unique route de la ville et dont le charme tend a disparaitre...bref, c est la cote d azur locale...

ps Vous noterez qu il manque certaines particularites de notre orthographe francaise ou certaines ponctuations, sachez que cela est du non seulement a l utilisation d 1 clavier qwerty, mais egalement a une habile et sournoise inversion des touches avec leur resultats a l ecran, ce qui fait que l utilisateur moyen a vite fait d embrayer sur le mode texto  cher a nos ados.

ps2 Vite les copains, donnez nous de vos nouvelles

20 juillet 2009

TRUJILLO... LYMPIQUE

Buenas tardes companeros ! On est aTrujillo apres une nuit de bus avec la TEPSA...aaaaahhhhhhh. On a dormi plies en 6, on s'est reveilles plies en 12! On a visite le coin, on a vu un levrier afghan surfeur et plein de maisons colorees, des peruviens toujours aussi sympas et prevenants. Demain on comptait sur lávion pour nous amener en Amazonie et sur le routard pour bien nous informer et ben non....! Pas dávion entre ici et Iquitos donc retour sur Lima avec notre amie la TEPSA, parceque quand tepsa, tepsa.... et nous on aime ca!

De la, nos chemins se separent, Lau et Fabio vont roucouler et nous on va titiller le mosquito!

On balance nos oeuvres photographiques plus tard, LA CA RAME!

Besitos!   

Speciale dedicace a tous nos lecteurs, wesh lachez vos coms!

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